Ida Grinspan et Henri Borlant, très jeunes à l’époque des faits, racontent les lois antisémites, les rafles, leur arrestation, leur déportation à Auschwitz, puis leur retour, la difficulté du deuil, l’impossible reconstruction. Traumatisés, mais vivants et porteurs d’une mission forte : raconter l’enfer aux générations suivantes afin de leur transmettre la mémoire