Braquage, meurtre, viol ou terrorisme… Derrière des dossiers criminels, dix avocats pénalistes parlent à coeur ouvert du client ou de la cliente qui les a touchés, effrayés, déçus… Celui ou celle qui, souvent, les a poussés à réfléchir au sens de leur métier.
Recueillies par Margaux Lannuzel, ces confidences rares nous plongent de manière inédite dans la relation complexe et fascinante entre un avocat et son client et soulèvent les questions que nous nous posons tous : Comment défendre
un « monstre » ? Comment soutenir le regard des victimes quand on est dans le camp du meurtrier ? Peut-on s’attacher à un criminel ? Arrive-t-il à un avocat d’avoir peur de son client ?
Au fil de ces récits, l’autrice esquisse une réflexion sur des questions fondamentales telles que le rapport des avocats à la vérité ou la distance qu’ils placent entre eux et ceux qu’ils défendent, avec pour volonté de brosser le portrait de l’humain sous la robe.
« Un client, c’est à la fois mon pire ennemi – d’ailleurs, la plupart du temps, il est assis dans mon dos – et celui pour qui je me bats et je me battrai jusqu’à la mort, comme un fantassin pour son drapeau.»
Me Louise Tort
Recueillies par Margaux Lannuzel, ces confidences rares nous plongent de manière inédite dans la relation complexe et fascinante entre un avocat et son client et soulèvent les questions que nous nous posons tous : Comment défendre
un « monstre » ? Comment soutenir le regard des victimes quand on est dans le camp du meurtrier ? Peut-on s’attacher à un criminel ? Arrive-t-il à un avocat d’avoir peur de son client ?
Au fil de ces récits, l’autrice esquisse une réflexion sur des questions fondamentales telles que le rapport des avocats à la vérité ou la distance qu’ils placent entre eux et ceux qu’ils défendent, avec pour volonté de brosser le portrait de l’humain sous la robe.
« Un client, c’est à la fois mon pire ennemi – d’ailleurs, la plupart du temps, il est assis dans mon dos – et celui pour qui je me bats et je me battrai jusqu’à la mort, comme un fantassin pour son drapeau.»
Me Louise Tort