Dans un style parlé et immédiat, le narrateur échange avec les deux enfants Adam et Nora, et rebondit à leur interrogations en déroulant un fil qui les conduit à comprendre leur situation, à l'accepter ou à le modifier.
Le titre part d'une situation du quotidien de l'enfant, (ici, un adulte vient en classe pour expliquer le harcèlement or précisément, Adam s'interroge sur le fait d'être moquer en permanence parce qu'il est "bébé". Est ce du harcèlement ? ), puis on déroule le propos en apportant des pistes de réponses et des propositions d’aides clefs, pour dédramatiser.
L'originalité de la collection tient au jeu progressif des questions qui amène à la compréhension globale du problème du harcèlement. Le ton est léger, peu formel, spontané, et le discours est émaillé d'exemples du quotidien, de ceux que rencontrent réellement dans leur vie, les enfants.
le harcèlement
On se moque toujours de moi !
thèmes abordés :
-Adam est moqué parce qu'il est "bébé" dans son comportement. Est ce du harcèlement ?
-Les moqueries "positives" peuvent permettre de nous faire réagir, pour "changer" de comportement.
-Mais celles qui se répètent, ou qui sont dites pour blesser, ça, c'est du harcèlement.
-Ne pas répondre par la violence physique (Adam veut faire une prise de judo à son harceleur) ou verbale (le traiter de "grosse patate" est aussi une injure qui peut se retourner contre lui)
-Le mieux est d'être entouré et d'être "bien dans sa peau" pour ne pas être touché par les mots ou les actes et laisser glisser....
-Repérer quand l'agression devient récurrente, sans dialogue, à l'école ou à l'exterieure de l'école (sur les réseaux) et oser parler à un adulte référent.
-Les adultes ont une obligation de protection des enfants.
Ce titre cherche surtout à developper des solutions pour que les enfants changent de posture face au harcèlement. Montrer que ce n'est pas une fatalité ; l'auteur déroule son fil en montrant que les enfants peuvent (et doivent) ne pas se laisser faire : elle cherche à les faire réagir, à comprendre les ressorts possibles et qu'ils ne rentrent pas dans la posture de victime..... Cependant, elle montre aussi que prevenir un adulte quand on ne s'en sort pas, ce n'est pas être victime, c'est au contraire agir !
Le titre part d'une situation du quotidien de l'enfant, (ici, un adulte vient en classe pour expliquer le harcèlement or précisément, Adam s'interroge sur le fait d'être moquer en permanence parce qu'il est "bébé". Est ce du harcèlement ? ), puis on déroule le propos en apportant des pistes de réponses et des propositions d’aides clefs, pour dédramatiser.
L'originalité de la collection tient au jeu progressif des questions qui amène à la compréhension globale du problème du harcèlement. Le ton est léger, peu formel, spontané, et le discours est émaillé d'exemples du quotidien, de ceux que rencontrent réellement dans leur vie, les enfants.
le harcèlement
On se moque toujours de moi !
thèmes abordés :
-Adam est moqué parce qu'il est "bébé" dans son comportement. Est ce du harcèlement ?
-Les moqueries "positives" peuvent permettre de nous faire réagir, pour "changer" de comportement.
-Mais celles qui se répètent, ou qui sont dites pour blesser, ça, c'est du harcèlement.
-Ne pas répondre par la violence physique (Adam veut faire une prise de judo à son harceleur) ou verbale (le traiter de "grosse patate" est aussi une injure qui peut se retourner contre lui)
-Le mieux est d'être entouré et d'être "bien dans sa peau" pour ne pas être touché par les mots ou les actes et laisser glisser....
-Repérer quand l'agression devient récurrente, sans dialogue, à l'école ou à l'exterieure de l'école (sur les réseaux) et oser parler à un adulte référent.
-Les adultes ont une obligation de protection des enfants.
Ce titre cherche surtout à developper des solutions pour que les enfants changent de posture face au harcèlement. Montrer que ce n'est pas une fatalité ; l'auteur déroule son fil en montrant que les enfants peuvent (et doivent) ne pas se laisser faire : elle cherche à les faire réagir, à comprendre les ressorts possibles et qu'ils ne rentrent pas dans la posture de victime..... Cependant, elle montre aussi que prevenir un adulte quand on ne s'en sort pas, ce n'est pas être victime, c'est au contraire agir !