« Je fuis les hommes parce qu’ils ne m’aiment pas comme je voudrais qu’ils m’aiment.
Avant, c’était une stratégie pour qu’ils me courent après.
Mais comme personne ne me rattrape jamais, maintenant, c’est une devise. »
Elle a 34 ans et elle s’appelle Glôdine.
Pas vraiment laideron mais un peu bougon, Glôdine est persuadée que son prénom lui porte la poisse avec les mecs qui la voient davantage comme une bonne pote que comme une target potentielle.
Un jour, Glôdine, passablement bourrée, retombe sur le carnet Diddle de ses 12 ans et décide de se lancer un défi : trouver l’homme de sa vie avant d’avoir noirci la dernière page du carnet.
Si c’est un échec, alors elle partira en transhumance estivale avec un troupeau de chèvres.
À travers ce récit cru et sans tabou, Sarah Treille Stefani nous fait entrer dans l’intimité d’une anti-héroïne qui ose tout.
Avant, c’était une stratégie pour qu’ils me courent après.
Mais comme personne ne me rattrape jamais, maintenant, c’est une devise. »
Elle a 34 ans et elle s’appelle Glôdine.
Pas vraiment laideron mais un peu bougon, Glôdine est persuadée que son prénom lui porte la poisse avec les mecs qui la voient davantage comme une bonne pote que comme une target potentielle.
Un jour, Glôdine, passablement bourrée, retombe sur le carnet Diddle de ses 12 ans et décide de se lancer un défi : trouver l’homme de sa vie avant d’avoir noirci la dernière page du carnet.
Si c’est un échec, alors elle partira en transhumance estivale avec un troupeau de chèvres.
À travers ce récit cru et sans tabou, Sarah Treille Stefani nous fait entrer dans l’intimité d’une anti-héroïne qui ose tout.